1. |
Lazy Boy
03:39
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Depuis ma Renaissance
J’vis dans c’Blues Bleu Pervenche
Une langueur intense
Doux plaisirs en avalanche
Ta bouch’fait com’un’danse
J’kiff’ c’que’c’Blues te déclenche
Tu es ma Providence
C’est l’effet Blues Pervenche
Au fond d’la bell’Provence
C’est toujours Blues Dimanche
Et comme j’ai tout’les chances
Ton Amour est immense
C’est l’effet Blues Pervenche !
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2. |
JETLAG
03:52
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3. |
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Regardez cette rose,
On l’arros’et ell’cause,
Ell’veut pourtant autre chose….
« Dans une vie parfaite
Mon doux parfum de fête
Embaum’rait la silhouette
De cette ombre de marbre
Nichée parmi les arbres.
Est-ce une imposture ?
Ce n’est pas ma nature
D’aborder les sculptures.
Je ne suis qu’une rose…………….. »
La statue virtuose
Lass’de tenir la pose,
Attend sa métamorphose.
« Dans une vie parfaite
Je balanç’rais la tête,
Je ferais des pirouettes
Pour cett’fleur si bavarde
Que tout l’monde regarde.
J’ai bien la stature
De tenter l’aventure,
M’inventer un futur !
Moi le Marbre qui ose……………… »
Pour mon Amie la rose,
Pour toi Marbre qui ose,
Le Vent peut fair’quelque chose.
« Par ce parfum de fête
Je souffle à la silhouette
D’à la rose conter fleurette.
Et je tomb’sous le charme,
Votre joie me désarme,
Allez vers l’azur
Filez tribord amure
Je gonfle la voilure !
Le Vent fait bien les choses…………… »
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4. |
STAND STILL
04:45
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5. |
VIEIRA DA SILVA
04:27
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6. |
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IL Y A LÀ-BAS COMME UN HOMME
IL Y A LÀ-BAS PRESUA QUELQU'UN
J'ENTENDS COMME DES PAS QUI RÉSONNENT
PEUT-ÊTRE PAS PEUT ÊTRE BIEN
LORS TOUS MES AVENIRS S'ÉTONNENT
MON OMBRE A COUPÉ PAR LES BOIS
UNCHIEN ABOIE LE CIEL EST IVRE
QUELQU'UN CHANTONNE DANS LE SOIR
EST-CE MOI ENCORE OÙ TOI DÉJÀ
QUELQU'UN S'EN VA
ET SEULES LES OMBRES S'EN REVIENNENT
IVRES À TRAVERS BOIS, CHANTANT
LES OMBRES S'EN REVIENNENT EN CHANTANT
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7. |
IVAN LENDL (a)
01:44
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8. |
IVAN LENDL (b)
04:26
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9. |
Françoise
04:30
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10. |
DU MATIN JUSQU'À LA LUNE
04:25
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Qu’est ce que je’n’donn’rais pas pour te revoir très bientôt
Mêm’ juste pour un tour dans la banlieue flasque des autos
J’embrass’ta photo
Quell’bourrasque je t’ai dans la peau
Tu m’tiens du matin jusqu’à la Lune
Dans le musée tranquil’nous ne trouvons plus nos mots
Tous deux arrêtés devant ce tableau de Canaletto
Derrière son tricot
La gardienn’pens’que nous trainons trop (à)
Planer du matin jusqu'à la Lune
Quelle exquise surprise
Tu viens tout contre moi
J’ai besoin de rêver dans tes bras
A Venise
Paisible lagune (nous)
Flott’rons du matin jusqu'à la Lune
A la Lune
Le Vaporetto vogu’vers le Ponte Rialto
L’eau calm’est verte com’dans le tableau de Canaletto
Allons en bateau
Cueillir le secret de Murano :
Le cristal nous scintillera
La voie du matin jusqu'à la Lune
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11. |
LA CAMARGO
02:57
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12. |
ERIC WATSON
05:21
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13. |
YVES KLEIN
04:58
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14. |
TOMBOLA PLANÉTAIRE
04:34
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TOMBOLA PLANETAIRE
Serait-ce qu’il nous reste le temps de tourner l’esprit face au vent d’Ouest ?
Méditer l’embrun, la vague, le phare, l’avenir, incertains.
Ronde la mappemonde s’effondre, décrochée du pôle Nord.
Décor de baleines échouées dans l’effroi, près des rennes.
Chacun doit en corps trouver le Paradis de soi
(les)
Épices en feu d’artifices du soleil levant, tout vient de l’Est.
Bouddha contre l’ordre confucéen, certes mais qu’importe !
Ca se passe au grand loin………………
Adieu les pays rudes, bonjour une vie plus simple au Sud.
Au Nord des lionnes, la glace frissonne, vive de plaisir et d’oubli tandis que :
(refrain)
« Toujours on donne à ceux qui
N’ont jamais rien à manger
Les armes qu’il faut pour s’entretuer.
Pauvres contre pauvres,
Fleur au fusil pour je ne sais quel
Dieu-père féodal à perpète huer.
Coquelicot militaire
Hélicoptère et colos
Hélicoquelicoptère tombe à l’eau.
Tombola planétaire,
Partiale injuste et brutale mais
Queue fer pour pacifi-er le métal ? »
Des kilomètres d’images de carnages envahissent les fenêtres.
Où trouver le courage du partage, le joyau présent aux
Enfants encore à naitre ?
Au profond sommet du toit de l’âme, sur l’instant chaviré.
Au large du Sud, au temps de l’Est, le Nord des habitudes s’enivre d’Ouest car:
(refrain)
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15. |
UN JOUR TU VERRAS
03:07
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Un jour, tu verras, on se rencontrera,
Quelque part, n'importe où, guidés par le hasard,
Nous nous regarderons et nous nous sourirons,
Et , la main dans la main, par les rues nous irons.
Le temps passe si vite, le soir cachera bien nos coeurs,
Ces deux voleurs qui gardent leur bonheur ;
Puis nous arriverons sur une place grise
Où les pavés seront doux à nos âmes grises.
Il y aura un bal, très pauvre et très banal,
Sous un ciel plein de brume et de mélancolie.
Un aveugle jouera de l'orgu' de Barbarie
Cet air sera pour nous le plu beau, l'plus joli !
Moi, je t'inviterai, la taille, je prendrai
Nous danserons tranquill' loin des gens de la ville,
Nous danserons l'amour, les yeux au fond des yeux
Vers une nuit profonde, vers une fin du monde.
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16. |
CRISTAL
01:51
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